Ebook Gratuit Le Modèle italien, by Fernand Braudel

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Détails sur le produit

Broché: 220 pages

Editeur : Editions Flammarion (1 septembre 2008)

Collection : Champs Arts

Langue : Français

ISBN-10: 2081217457

ISBN-13: 978-2081217454

Dimensions du produit:

18 x 1,8 x 11 cm

Moyenne des commentaires client :

5.0 étoiles sur 5

3 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

156.868 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Braudel est un immense historien français, étudié dans le monde entier (facile à vérifier). C’est un disciple de l'Ecole des Annales (dénomination équivoque au premier abord, je l'avoue), école connue pour avoir rajeuni le domaine de l'Histoire en y introduisant les différentes sciences sociales (économie, étude culturelle, démographie, etc.), mouvement inspiré des travaux du belge Henri Pirenne, et créer par les tout aussi important Lucien Febvre et Marc Bloch. Braudel était leur élève, lui même maître du médiéviste très connu Georges Duby. Le passage du relais, la continuité de l'exigence, perpétuait la tradition et la domination de la France dans ce domaine. Petite anecdote, Bloch, Febvre et Braudel (on peut même rajouter Pierre Chaunu) étaient tous originaire du "Grand Est", région forcément marqué par l'Histoire (et pas souvent en bien), leur si grand désir de compréhension découle peut-être de cela.Bref, après ses propos liminaire et nécessaire pour perpétuer la mémoire d'un courant aussi important, surtout à l'heure où l'Histoire est passée aux oubliettes, place au coeur du livre.Braudel passe la domination italienne sous sa loupe (qu'il a lui même inventé) du temps long. La première partie concerne surtout l'histoire économique, dans la veine de son fabuleux Civilisation matérielle, économie et capitalisme, XVe-XVIIIe siècle, Tome 1 : Les Structures du Quotidien. Sauf que cette-fois ci Braudel s'intéresse exclusivement aux marchands italiens, de Gênes en particulier, puisque ce sont eux les plus dominants, mais aussi de Venise. En effet les gênois avant de finir en patisserie, avaient opérer une véritable "mondialisation" avant l'heure, dominant l'Europe entière, donc à cette époque, le Monde (pas le journal hein, lui ça sert à rien de le dominer). Des postes en Crimée, dans le sud de la Russie (haaa le débat "est-ce que les russes sont européens ?"), en Afrique du Nord. Ils sont les maîtres de la Méditerranée (le club Med de l'époque). Depuis ils ont découvert le foot et préfèrent mettre leur fameux drapeau à croix rouge sur fond blanc (décidément les types qui dominent les mers adorent les croix rouges à fond blanc) sur des maillots Lotto plutôt que de les hisser à leur mâts. Et puis de toute façon ça sert plus à rien de dominer quoi que ce soit quand on a les pâtes au pesto et Mancini-Vialli en attaque.La deuxième partie concerne le Baroque, courant un peu moins mis en lumière alors que tout aussi passionnant que la Renaissance, Braudel n'opère pas de coupure puisque ce qui l'intéresse est la prépondérance continue de la péninsule, qu'importe sa culture.Cette fois-ci l'auteur fait parler son immense culture générale, et s'occupe plutôt de Histoire de l'Art, des Arts. La naissance de l'opéra, du théâtre (Commedia dell'arte), de la science (Galilée, dont les parents n'avaient pas trop d'idée pour le prénom), la peinture évidemment, etc.La domination italienne se fait beaucoup plus culturelle qu'économique, les italiens parcourent toujours autant l'Europe et le Monde mais pour donner des conseils en architecture, en musique, en poésie, et être accueillit comme des dieux vivants par les rois à leurs cours.On découvrent avec des exemples concrets les conséquences de l'influence italienne à travers l'Europe et les siècles, leur apport à été considérable.Braudel, en conclusion, pose la question de la domination, de la décadence. La grandeur culturelle découle-t-elle forcément d'une économie florissante ? Ou ces deux phénomènes peuvent vivre séparément ? Qui de la poule ou de l'oeuf ? Du ragoût ou des lasagnes ? Là ce sera au lecteur d'aller plus loin, moi j'ai mes linguine à terminer.

L'Italie est un cas particulier: il y a une dissociation entre son rayonnement culturel et sa puissance. Certes, Braudel nous raconte l'importance qu'eurent les Italiens dans le développement de l'Occident, notamment leur présence en Orient et la survie qu'ils permirent à un empire byzantin dont l'agonie se terminera en 1453 - la vraie date de la fin du Moyen-age, plus pertinente que la date classique de 1492. Les arsenaux de Venise assuraient la puissance militaire de la république.L'Italie a donné au monde ses plus grands philosophes politiques avec Thomas d'Aquin circulant entre l'Italie et Paris, Marsile de Padoue et bien sûr le grand Machiavel. Mais son rayonnement culturel n'a jamais accompagné son rayonnement politique et c'est l'histoire d'un déclin, découpé en tranches historiques que nous compte ici Braudel, avec son style brillant habituel, truffé de références et de réflexions, fruit du travail d'un homme qui était habité par son métier d'historien.

Fernand Braudel (1902-1985) possède le talent des personnes qui sont intelligentes, cultivées : celui de l'humilité. Tracer un parcours, l'argumenter, le brosser en thèse, acceptant les critiques futures, réfutant, acceptant ou non les analyses passées, mais en les justifiant, jamais dans le mépris, exprime le fondement de la démarche de l'historien. L'humilité ajoute un appel au partage des connaissances, pour le service de l'humanité. Braudel se laisse ainsi découvrir avec pudeur.L'Italie de la Renaissance, puis de l'époque baroque, se constitua comme modèle pour l'Europe. L'Italie, en fait, chacune de ses grandes Cités, Venise, Florence, Gênes, Naples essentiellement en alternance ou bien en concordance, brillèrent de mille feux entre 1100 et 1650 avec deux sommets situés par l'auteur en 1350 et 1595, et un point bas en 1450 (ou 1500).Quand commence la Renaissance ? Braudel la conçoit sur la longue durée, venant progressivement à jour, s'exprimant avec son rayonnement de plus en plus intense, à partir du XIIème siècle (voire même à partir de l'an Mil :"La Renaissance, en gros, c'est cette mutation lente qui n'en finit pas de s'accomplir et qui fait passer la civilisation occidentale des formes traditionnelles du Moyen Age aux formes nouvelles, déjà actuelles, de la première modernité, celles-ci vivantes encore dans cette même civilisation d'Occident où nous vivons aujourd'hui et qui, sortie à peine de ses anciennes contradictions, en a fabriqué allègrement de nouvelles. Il s'est agi, au long de ces siècles, d'une destruction, les économistes diraient aujourd'hui d'un "progrès non neutre", d'une rupture progressive des anciennes contraintes, d'une désacralisation continue, malgré certains coups d'arrêt, bref d'une promotion de l'humain : l'homme se voit désormais au centre du monde" (p.70)"La civilisation de la Renaissance ne pouvait que s'ancrer dans l'apparat des cours princières, poussées un peu partout au XVIème siècle, car elle est elle-même une civilisation de l'orgueil." (p.79)La grande force de l'Italie fut qu'elle n'ait pas connu de guerres de religion : "Nul doute que, du point de vue de sa propre tranquillité, l'Italie n'ait tiré de solides avantages de son unité religieuse, se sa fidélité à Rome." (p.86)La Renaissance s'épanouit en Italie avec force car elle fut une expression philosophique et artistique soutenue par une économie florissante et de riches capitalistes mécènes. Venise fut une République maritime puissante. Gênes connut l'expansion du capitalisme bancaire qui sut financer les efforts de guerre de l'Espagne (Pays Bas), maîtrisant avec un art certain les cours de l'or et de l'argent, sachant faire circuler et monétiser les lettres de change. L'or vendu à Anvers et l'argent en Orient, aux meilleurs offrants, avec pourcentages de commissions avantageux pour les Génois; Fernand Braudel reprend les thèmes qu'il a développé dans La dynamique du capitalisme.Le XVIIème siècle est celui du baroque :"Le baroque, au gré des interprétations contradictoires, ce serait le refus du beau idéal pour revenir au pathétique quotidien; ce serait le 'déplacement du sujet à l'objet'; ce serait aussi une évasion hors du temps vécu, vers le rêve et ses vanités, à l'occasion une négation entêtée de la réalité; ce serait l'homme anéanti dans le mouvement qui l'enveloppe, ou 'volatilisé dans une explosion de lumière'. Le baroque incite, en effet, à parler de lui de façon baroquisante: à son propos, l'expression doit être vibrante ou ne pas être. Le style qui lui est naturel, c'est celui de Rubens, folie des corps épanouis, chairs abondantes et irréelles, draperies agitées somptueusement, arbres aux couleurs insolites : 'Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse' (Baudelaire)" - p.108-109.Le baroque consacre le déploiement européen du théâtre italien, de la comédie italienne. De 1550 à 1650, "il y a eu, de bout en bout de ce siècle et même au-delà , une folie du théâtre qu'il nous faut imaginer. Quelque chose comme une révolution. Le baroque, mais c'est la vie vue à travers cette lanterne magique : des tumultes gratuits, des trompe-l'oeil, des corps irréels, des gestes théâtraux, des batailles pour rire, des émotions exagérées, des accumulations de péripéties. Le théâtre expliquerait, excuserait beaucoup de choses." - p.124.Le rayonnement culturel est une mesure de la puissance d'une Nation. "Alors qu'à l'époque de François Ier et de Henri II, l'Italie n'avait fait que rayonner sur la culture française, à l'époque de Louis XIII elle la submerge. Et c'est pourquoi la France, cible majeure de ce bombardement culturel, a finalement réagi plus vite et plus que les autres, a fait son bien propre d'emprunts complètement assimilés : à partir de l'opéra italien s'est fabriqué l'opéra français; à partir de la Renaissance et du baroque, ce que nous appelons le classicisme. Et la querelle des Anciens et des Modernes a été finalement fructueuse." -p.140Là , dans cet ouvrage sur le modèle italien, Fernand Braudel, par petites touches esquisse ce qui constitue le génie français, propre à notre Nation, dont il importe d'avoir conscience pour avoir confiance dans notre avenir.Reprenant Georges Lefebvre sur une assertion qu'il ne partage pas : "En vérité puissance et rayonnement culturel sont les deux faces d'un même phénomène", Braudel précise sa position :"Le rayonnement culturel, dans le cas de l'Espagne du siècle d'Or, c'est un phénomène d'arrière-saison. Le rayonnement de la France, sans remonter au Secole senza Roma, n'obéit-il pas à une règle analogue ? Chaque fois, il suit les ratages de la politique : en 1529, à peine quatorze ans après Marignan, les jeux sont faits, vu les fautes de François Ier et les invraisemblables chances des Habsbourg; or c'est alors que jaillit la Renaissance française, car il y a eu une Renaissance française. Après les grandes guerres de Louis XIV, autre échec retentissant, il y a la France des Lumières. "Le grand siècle, je veux dire le XVIIIème": le mot est de Michelet. Après 1815, voilà le romantisme. Après 1919 et l'échec d'une paix française, et cet épuisement où la "victoire" a laissé la France, c'est un épanouissement littéraire, artistique et scientifique que nous ne connaissions plus depuis longtemps. Pensant à la Grèce, à la chouette, symbole d'Athènes et de son rayonnement, Léon Brunschwig aimait à dire : "L'oiseau d'Athena qui, malheureusement, s'envole à la tombée de la nuit." A tort ou à raison, il me semble que la tombée d'une certaine nuit précède, commande d'ordinaire, toute grandeur culturelle. C'est la chute qui provoque cette multiplicité de lueurs. La France a été privilégiée de ce point de vue. Dans ce sens, la nuit, une certaine nuit est tombée deux fois du moins sur l'Italie, aux environs de 1450, aux environs de 1600. Tout le ciel d'Europe en a été éclairé." -p.197.

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